Philipe et Codie,
je vous avais promis plus de détails à l'occasion. Mais mieux que tout ce que je pourrais raconter du haut de ma toute petite expérience, je vous propose de visiter les sites de Galeb Aventures [url=galebaventures.com]galebaventures.com[/url] et de :
sea-kayak-croatia il donne des tas d'infos, dessins de tracés et cartes.
Pour ce qui est de l'équipement, rien de sorcier. Equipement complet de kayak de mer. Je n'avais pas de VHF, mais j'étais en contact avec le loueur et organisateur de trip kayak (UCPA) français de Pakostane "Galeb Aventures"
http://galebaventures.com/ à qui nous avions loué un deuxième kayak. En route, nous avons croisés d'autres groupes accompagné par Galeb et le contact a toujours été cordial voire précieux. Nous avons pu profiter de leurs poste de bivouac.
Sinon: la carte marine locale évidemment. Beaucoup d'eau. nous avions pris 2 litres/jour/personne. C'était un peu trop. Il y a des petits restos à bateaux où on peu s'approvisionner un peu et l'un ou l'autre village si on part plus longtemps.
pour les bivouacs,
tente igloo de petite taille et légère. (Nous avions une Décathlon tout à fait correcte.)
Sacs de couchages light, il faisait assez chaud. Matelas auto gonflants
vêtement de rechange et effets personnels; prévoir le trop de soleil, chapeau, longues manches, crème solaire et lunettes. mais aussi la pluie et le vent. Le tout dans des cacs étanches évidemment.
Batterie de réserve et/ou chargeur solaire, lampes solaires de mon Oru. Frontale. Appareil photo et/ou tel. portable
Nourriture en boîte et lyophilisée en plus du frais qui ne tient que quelques jours dans de telles conditions.
Mais il faut profiter des konobas (restaurants) pour se régaler de poisson frais. C'est plutôt amusant de garer son kayak à côté d'un yacht dans l'un ou l'autre de ses micro ports et de passer les heures chaudes à l'ombre à une terrasse en sirotant sa bière par demi-litres. (Je vous l'avais bien dit que nous n'étions pas là que pour faire des km!)
Le camping sauvage est rigoureusement interdit! Et surveillé. Il faut donc profiter des lieux prévus, voire des jardins de la konoba où on a pris le repas du soir. Ou être extrêmement discret, arriver tard et partir tôt, (ce qui est le principe du bivouac).
Evidemment, je ne remet plus la main sur ma carte maritime, sion je vous l'enverrais Codie et Philippe. Mais elle doivent se trouver sur place.
Personnellement, je trouve que cela vaut bien plus que les 5 petits jours que j'y ai passé. On peut aller plus loin que nous ne l'avons fait et aussi randonner à pieds là où on s'arrête.
Bon voyage!
Fabienne