Un premier sujet de réflexion: le kayak et la motivation.
But espéré de ce thème, mieux se connaître et mieux se comprendre. Voilà que K-N se transforme en conseiller psychologique…
La question ?
Qu’est-ce qui nous pousse à pratiquer le kayak et particulièrement en cette période de froid ?
Quelques pistes de réflexion personnelle pour :
1°) La motivation
Conditions physiques à acquérir, maintenir ou améliorer. Défoulement et usage déstressant pendant ou après une journée de boulot. Profiter d’une activité extérieure alors que l’on est trop souvent enfermé. Jouer avec de l’eau comme quand on était gamin(e).
2°) le kayak :
Après la découverte d’un geste qui semble facile, on se prend très vite au jeu de s’améliorer. LA technique n’est pas si simple qu’il parait. Et l’envie d’apprendre taraude.
Souplesse de l’activité. Avec un peu de matériel on peut se retrouver très vite à découvrir des coins très sympas. Lulu qui nous fait découvrir la Senne, qui aurait imaginé à un jet de pierre du centre-ville de Bxl, d’aller pagayer sur ce cours d’eau à la réputation peu engageante, on découvre alors des lieux extraordinaires.
Variété du sport : dans une même activité pouvoir aborder autant de techniques différentes est un vrai luxe : Rando, Mer, Marathon, K1, Rivière, Slalom, Freestyle, Polo-kayak etc… On en a des choses à apprendre… Et tant mieux. Autour de cela se grève toutes les techniques comme l’esquimautage, les techniques de sécurité et de survie…Si je dois tout énumérer, on est encore là dans 10 jours, sans avoir évoquer les techniques pour pagayer en pagaies bois, cuillère, eskimo…!
Prix : profitons-en, l’activité reste abordable. Une cotisation annuelle avec la mise à disposition de matériel et d’infrastructure est moins chère qu’une paire de chaussure pour courir. Un point positif en ces temps de difficultés pécuniaires généralisées, non ? Regardez le prix des salles de fitness, pas vraiment comparable !
L’autonomie : en peu de temps et avec quelques cours d’initiation dans les bras, on est libre et autonome, progresser et améliorer sa condition ne dépend plus que d’une seule personne : soi-même. On est responsable de nous-même, du temps que l’on consacre ou non à l’entrainement. Si le partage des infos, des conseils et des techniques se fait en commun, l(merci à ceux qui prennent du temps pour nus instruire) les progrès personnels ne seront visibles qu’à condition que chacun s’assume et s’entraine. C’est cash ! Le constat est immédiat! Pas de fausses excuses ! Pas moyen de biaisé, et ça j’adore!
Et pour vous, qu’en est-il ? A vos plumes, à vos souris, tous les avis sont intéressants à lire…
Voilà pour un premier sujet de débat, les autres suivront régulièrement…
A bientôt sur l'eau...